La Havane pour un
Infante défunt / Guillermo Cabrera Infante ; trad.
de l'espagnol (Cuba) par Anny Amberni. - Paris : Éd.
du Seuil, 1999. - 603 p. ; 18 cm. - (Points, 599).
ISBN 2-02-034485-8
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LE MONDE DES POCHES, 9 avril 1999 : Refaisant éternellement le tour
de ses « deux matries, La Havane et la nuit »
dans « une enfilade de souvenirs »,
Guillermo Cabrera Infante, dans une langue foisonnante, caressante
et fluide, improvise de multiples variations autour des formes
de l'amour et de l'amour des formes.
Jean-Louis Aragon
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LE MONDE, 24 février 2005 : […] La Havane pour un Infante
défunt, parcours marqué de repentirs et d'extases
d'un adolescent découvrant simultanément l'électricité,
la langue, la littérature et la sexualité à
La Havane. Ce foisonnant roman d'initiation aux teintes autobiographiques,
moins polyphonique et chaotique que [Trois tristes tigres],
est pourtant nourri de constantes digressions et d'une syntaxe
baroque.
[…]
Fabienne Dumontet
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Guillermo Cabrera
Infante (né en
1929 à Cuba, mort en exil à Londres le 21 février
2005) s'est imposé en France avec son roman Trois Tristes
Tigres (Prix du meilleur livre étranger 1970). En
1997, il a reçu en Espagne le prix Cervantès, le
plus prestigieux pour les littératures hispaniques modernes.
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COMPLÉMENT
BIBLIOGRAPHIQUE
- « La Habana para un Infante difunto », Barcelone : Seix Barral, 1979
- « La Havane pour
un Infante défunt », Paris : Seuil, 1985
- « Dans
la paix comme dans la guerre », Paris : Gallimard
(La Croix du Sud), 1962 ; Gallimard (L'Étrangère),
1998
- « Trois tristes tigres »,
Paris : Gallimard, 1970 ; Gallimard (L'Imaginaire,
213), 1989
- « Orbis oscillantis »,
Paris : Flammarion, 1980
- « Coupable
d'avoir dansé le cha-cha-cha », Paris :
Gallimard, 1999
- « Premières
lueurs du jour sous les tropiques », Paris :
Mille et une nuits, 2003
- « Le
miroir qui parle, nouvelles presque complètes »,
Paris : Gallimard, 2003
- « Holy smoke », Albi : Passage du nord-ouest, 2007
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mise-à-jour : 29 novembre 2007 |
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