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             Apsuma, dans les
              traces de Jørn Riel / Philippe Rohan ; peintures
              de Jacques Godin ; photographies de Gérard Loucel.
              - Larbey : Gaïa, 2003. - 217 p.-[1] dépl. :
              ill. ; 22x22 cm. 
              ISBN 2-84720-017-7 
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          NOTE DE L'ÉDITEUR : C'est un pays lointain, un vrai continent
              blanc plongé dans le noir une large moitié de l'année.
              Et puis soudain, c'est le bref été arctique, et
              une explosion de couleurs à n'en pas croire ses yeux. 
              
              Ce sont cinq compères
              à l'amitié indéfectible. Ils partagent deux
              passions : le voyage et les livres de Jørn Riel. L'idée
              d'une « expédition littéraire »
              dans les traces du grand écrivain danois se fait jour :
              ce sera APSUMA SUKANGA. Ils iront à la recherche des cabanes
              des chasseurs des racontars arctiques, des lieux magiques d'Arluk
              et Soré, du silence assourdissant du jour avant le lendemain.
              Quelques semaines là où Jørn Riel vécut
              16 ans. 
              
              Les peintures de Jacques Godin,
              les photos de Gérard Loucel, les textes de Philippe Rohan,
              les extraits des livres de Jørn Riel s'associent à
              merveille pour nous brosser un Groenland grandiose, époustouflant,
              parfois dangereux, toujours sublime. Une fabuleuse invitation
              au voyage … 
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                    Au pays des Merveilles, Alice
                      vit un gros lapin blanc, et c'est sûrement celui que nous
                      avons rencontré lors de notre promenade. […] Plus loin,
                      tapis derrière un monticule de pierres sèches,
                      trois de ses acolytes nous attendent. […] Les compères
                      sont superbes dans leurs fourrures immaculées.
                      
                     Bondissant de caillou en caillou
                      […] ils nous font visiter leur territoire, un cimetière
                      de bœufs musqués. Dans l'île de Traill, la mort
                      est parfois jolie. Chaque cadavre est un jardin. Les ossements
                      forment un rempart de chaleur à l'abri des vents, les
                      sels minéraux du corps ont nourri la terre. 
                      
                    
                        
                      Nous avons tous vécu
                        des choses qui a priori ne sont pas de ce monde … « Arthur »
                        in Un gros bobard 
                     
                      
                    ☐ p. 61 
                    
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              COMPLÉMENT
              BIBLIOGRAPHIQUE
              
              
             
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          | mise-à-jour : 27 décembre 2005 | 
 
          
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