Goldie [published on the occasion of
the exhibition Goldie, Auckland, 28 june-28 october 1997] / Roger Blackley. -
Auckland : Auckland art gallery Toi o Tamaki [in association
with D. Bateman Ltd.], 1997. - VIII-200 p. :
ill. ; 29 cm.
ISBN 1869533402
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Charles F. Goldie (1870-1947)
est peu connu en France où, pourtant, il a fait une partie
de ses études, à l'académie Julian.
Dans sa contribution au recueil de Bronwen Nicholson
— Gauguin
and Maori Art —,
Roger Blackley fait remarquer qu'au moment où
Gauguin visitait Auckland, Goldie étudiait
à Paris.
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NOTE
DE L'ÉDITEUR :
The seminal book on Charles F. Goldie, arguably New Zealand’s
best-known artist. Written by prominent art historian Roger Blackley,
this beautiful volume explores the entirety of Goldie’s
career
and beyond, extensively covering the important and contradictory roles
his paintings continue to play in the world of New Zealand art and
culture. Over one hundred paintings are reproduced in full colour in
this sprawling, influential book.
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ALEX W. DU PREL :
[...]
Goldie était un
Néo-Zélandais de la seconde
génération qui, dès son plus jeune
âge, s'intéressa aux Maoris en
dévoilant un don exceptionnel pour le croquis et la
peinture. Il produisit des œuvres remarquables dès
l'âge de 15 ans. Ainsi il fut l'un des premiers de ce pays
à partir étudier l'art en Europe, à
l'académie Julian de Paris, et aussi le premier à
retourner dans son pays une fois les études
terminées. Il deviendra vite le plus populaire peintre de
Nouvelle-Zélande et produira une multitude de portraits de
1895 jusqu'au début des années 30,
jusqu'à ce qu'il se détruise par l'alcoolisme.
De son vivant, il fut l'objet
d'idolâtrie comme de critiques sévères.
On l'accusa d'être un « peintre
colonialiste » qui exploitait un
impérialisme et un sensationnalisme pour le genre « dernier
de la tribu ».
Les Maoris sont bien moins
divisés à son égard, la plupart
vénérant ses toiles comme de vrais
ancêtres, le problème majeur de leur exposition
étant qu'ils veulent toucher les toiles car elles sont si
réalistes. Plusieurs portraits ont été
volés ces cinquante dernières années
pour toujours être retrouvées chez des Maoris,
subtilisées non pour des raisons pécuniaires mais
de vénération.
[…]
☐ Tahiti Pacifique magazine, 80 | décembre 1997
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COMPLÉMENT
BIBLIOGRAPHIQUE |
- Alister Taylor
and Jan Glen (ed.), « C.F. Goldie,
1870-1947 : his life and painting »,
Martinborough (New Zealand) : A. Taylor, 1977
- Alister Taylor
and Jan Glen (ed.), « C.F. Goldie, 1870-1947 :
prints, drawings and criticism », Martinborough (New
Zealand) : A. Taylor, 1979
- Alister Taylor,
« C.F. Goldie : famous Maori leaders of New
Zealand », Auckland : A. Taylor Publishers,
1993
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mise-à-jour : 28
décembre 2016 |
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