Les îles d'Ouest
: Oléron, Aix, Ré, Madame, Yeu, Noirmoutier / Jean
Prasteau. - Paris : Arthaud, 1954. - 158 p.-71 pl.-1 carte
dépl. ; 21 cm.
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Les îles, c'est l'Aventure
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Alors, partons pour les îles ! Les Cocos, les Tuamotou,
les Marquises et les Manihiki nous attendent.
Mais est-ce tellement nécessaire d'aller si loin ?
☐ Chapitre I, p. 7
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Proches du littoral et familières
d'apparence, les îles d'Ouest ne cessent pour autant d'exercer
un attrait où le mystère et l'exotisme ont leur
part. Passée la “ porte des îles ”
— ici, La Rochelle — le grand large impose
sa loi, l'aventure est à portée de rêve.
Oléron, c'est l'île
des parfums …
Aix, l'île sous le vol de l'aigle …
Madame, l'île de la mort lente …
Ré, l'île blanche …
Yeu, l'île égarée …
et Noirmoutier, l'île aux deux visages
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NOTE DE L'ÉDITEUR : […]
Qui pouvait parler des îles
d'Ouest sinon Jean Prasteau [1921-1997], reporter littéraire du Figaro,
originaire d'un de ces curieux villages de la côte charentaise [Aytré]
où les hommes sont autant marins que terriens ?
En fait, il “ raconte ”
les îles. Car, ici, l'histoire — une étonnante
histoire mi-terrestre, mi-navale — adhère au pays.
Le baron de Chantal, père de la marquise de Sévigné,
Toiras, Richelieu, Buckingham, Choderlos de Laclos, Charette,
Napoléon, revivent et combattent dans ces paysages marins
où, parfois, entre deux dunes, apparaissent et flottent
au vent les capes des Trois Mousquetaires.
[…]
Les amis de l'Océan ne
seront pas insensibles à cet ouvrage de dévotion
pour cette étendue en mouvement qui donne le vertige
mortel, selon la phrase de Pierre Loti, qui fut un amateur
d'îles.
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COMPLÉMENT
BIBLIOGRAPHIQUE |
- « Charentes et merveilles », Paris : France-empire (Histoire et terroirs), 1977
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mise-à-jour : 26 septembre 2005 |
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