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Forces
armées malgaches : entre devoir et pouvoir / Rakotomanga Mijoro.
- Paris : L'Harmattan, 1998. - 220 p. ; 22 cm.
ISBN 2-7384-4707-4
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NOTE DE L'ÉDITEUR
: Entre la classe politique et l'armée malgache, une concurrence
pour le pouvoir existe depuis au moins 1972, date de la chute du
premier gouvernement civil.
L'échec politico-économique des « Forces Vives » — la « Société civile »
malgache — a incliné la population à voter
pour un militaire qu'elle venait pourtant d'écarter du pouvoir
pour son arbitraire et son échec dans la gestion du pays en
seize années de règne. Il faut dire qu'un Malgache sur
deux a boudé les urnes face aux faux choix entre
prétendants civil et militaire.
En tant que témoin, voire acteur, des évènements
dramatiques traversés par Madagascar sous les 3
Républiques et les 2 Transitions, l'auteur éclaire les
dessous de l'Histoire : l'écartement de Tsiranana,
l'assassinat de Ratsimandrava, le procès Andriamaholison,
l'opération « Kung Fu », etc …
Il réfléchit : au rôle des militaires dans un
pays sous-développé qui fut colonisé et
vécut le centralisme d'un Etat totalitaire, au patriotisme et au
loyalisme d'une armée citoyenne, au rapport interarmes, à
la gestion de la sécutité et à la
coopération régionale et internationale …
❙ Rakotamanga Mijoro
est né en 1937 à Antananarivo. Militaire de
carrière retraité depuis 1993, il fut haut responsable de
la Gendarmerie (1972-1991) et chef de l'état-major particulier
du Premier ministre sous la IIIe République (1992-1993).
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COMPLÉMENT
BIBLIOGRAPHIQUE
- « Forces armées malgaches : face à la crise 2002 », Paris : L'Harmattan, 2003
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| mise-à-jour : 18 juillet 2007 |
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